Alooooooooors j'ai l'imense honneur de vous présentez aujourd'hui attention...MA PREMIERE FANFIC SUR BLEACH ! Wouhoooooooouh ! (Au début on a l'impression que sa parle pas de Bleach mais vous verrez, au fil des chapitres vous allez comprendre qui est Rikako xD)
Chapitre 1 – Une vie sans passé
« Je t’ai adoptée »
C’est fou comme une simple phrase peut vous détruire parfois, moi, je l’ai compris le jour de mes 9 ans, ce n’est pas vraiment le meilleur cadeau d’anniversaire qu’on peut avoir, hein… Mais la vie est comme ça malheureusement, je me souviens, que je n’ai pas adressé la parole à ma mère pendant une semaine quand elle m’a avouez ça, elle à dû en être malade la pauvre, mais à l’époque, je lui en voulais, oui je lui en voulais de m’avoir adoptée, je lui en voulais de ne pas être ma mère biologique, elle n’y pouvait rien en fait… Mais cette simple phrase m’avais complètement détruite de l’intérieure, je souhaitait plus que tous connaître la personne qui m’avait mit au monde, s’en était devenue une obsession, oui, une vraie obsession, je n’arrêtait pas d’y penser, j’aurait au moins voulut savoir si j’avait été abandonnée ou si mes parents biologique étaient encore en vie, mais je n’ausait pas poser la question à ma mère, j’avait peur de la blesser, je savait que ma réaction l’avait rendu triste, je ne voulait pas faire plus de dégâts que j’en avait déjà fait…
Maintenant, j’ai 20 ans et je vis ma petite vie dans mon appartement à Tokyo, je travaille en tant que serveuse dans un petit bar de la ville, et je ne sais toujours rien de mes parents biologique… Je suis célibataire, pas que je ne plais pas, oh si que je plais, c’est juste que je n’ai pas envie de m’engager dans une histoire de couple alors que je suis encore jeune, je pourrais le regretter plus tard. Je suis rousse, ce qui d’ailleurs ma valut au lycée pleins de surnoms du genre « Poil de Carotte » mais bon, les gens sont cons, on ne peut pas leur en vouloir, j’ai de grands yeux bleus nuits, et je suis mince. Par contre, je suis plutôt petite, sa m’arrangerait si je pouvais miraculeusement prendre quelques centimètres mais bon… Oh ! J’oubliais ! Je m’appelle Kawanomu Rikako, enfin… Ca, c’est le nom que l’on m’a attribuée, comment m’aurait appelée mes parents biologiques ? Je me pose souvent cette question, c’est idiot, je sais, mais je ne peux pas m’empêcher d’y penser, c’est vraiment plus fort que moi ! Si seulement je pouvais oublier…
J’ai finit le boulot, comme d’habitude, je finit tard, 00h00, et je rentre à pied, mais je n’est pas peur, de toute façon je rentre par un chemin complètement désert, personne n’aurait l’idée de passer par là, moi je m’y sens en sécurité, du moins je m’y sentait en sécurité jusqu’à commencer à entendre des pas derrière moi, je m’arrête brusquement et me retourne, je n’entend plus de pas et vois personne, c’est surement la fatigue, je n’entend rien d’autre que ma respiration, il n’y a pas à s’inquiéter ! Je reprends mon chemin tranquillement, mais les pas recommencent, je m’arrête de nouveau et me retourne, la ça ne peut pas être mon imagination quand même ! Sauf que comme par hasard quand je me retourne, je n’entends plus rien…Je demande alors :
« Qui est là ? »
Aucune réponse… C’est rien Rikako, tu deviens cinglée c’est tout, car il n’y a pas un chat ici ! A si en parlant de chat, il y en a un… Un chat noir qui me regarde sans bouger… Je ne pense pas vraiment que sa sois ce chat qui est fait des bruits de pas quand même… Non ! C’est simplement mon imagination et rien d’autre ! Je tourne les talons et reprend ma marche en essayant d’ignorer les bruits de pas que j’entendais à nouveau en me persuadant que ca n’était que mon imagination et d’ailleurs qu’est-ce que ca pourrait être d’autre ? De toute façon je me rapproche de mon appart à grand pas, enfin, pas si grands que ça, mais j’y suis presque… Si, si presque ! Mais ces pas, oui, je les sens se rapprochés, je sens… Une présence derrière moi… Non ! Je ne me retournerais pas car il n’y a rien ! Rikako calme-toi…Non, c’est proche, je le sens, c’est de plus en plus près, oui, ça se rapproche… Là, je n’ai pas pu m’empêcher de me retourner ! J’ai à peine le temps de voire quelqu’un devant moi que je sentis une étrange douleur dans mon corps, puis, noir ! Je me suis évanoui…
J’ouvre les yeux, je ne sais pas où je suis, je regarde autour de moi, je suis dans une maison, couché dans un futon, mais ce n’est pas ma maison.
« Je vois que tu es réveillé, Kawanomu-san »